Programme national de surveillance du mésothéliome (PNSM). Actualisation des principaux résultats

Figure 1 : Couverture géographique du Programme national de surveillance du mésothélione (PNSM) et organisation, France

Tableau 1 : Caractéristiques des cas de mésothéliome pleural incidents recueillis, période 1998-2011, France

Figure 2 : Estimation du nombre annuel de cas incidents de mésothéliome pleural, France entière, et taux standardisés par âge (pour 100 000), selon le scénario 2 et selon les deux méthodes : données de mortalité, années 1998-2011, et données du PMSI, années 2006-2012

Tableau 2 : Estimation de l’incidence nationale de mésothéliome pleural et impact des hypothèses retenues : (1) exclusion des départements avec un « sous-enregistrement » potentiel vs. tous les départements (2) tous les cas non exclus vs. les cas certifiés seulement

Figure 3 : Nombre de cas incidents de mésothéliome pleural estimés et taux (pour 100 000) par âge (estimés selon le scénario 1, par la méthode utilisant les données de mortalité). Périodes 1998-2000 et 2009-2011

Tableau 3 : Description des expositions à l’amiante selon le sexe, Programme national de surveillance du mésothéliome (PNSM), France, 1998-2013 (N=2 217)

Suivi médicosocial des mésothéliomes pleuraux inclus dans le Programme national de surveillance du mésothéliome entre 1999 et 2011

Figure 1 : Programme national de surveillance du mésothéliome (PNSM) : départements ou zone géographique jusqu’en 2011

Tableau 1 : Analyse multivariée des paramètres associés aux déclarations en maladie professionnelle (DMP) en fonction du sexe parmi les cas ayant un diagnostic confirmé de mésothéliome pleural. Étude portant sur les départements ayant plus de 20 cas confirmés, France, 1999-2011

Tableau 2 : Analyse multivariée des paramètres associés aux demandes auprès du Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante (Fiva) parmi les cas ayant un diagnostic confirmé de mésothéliome pleural entre 2005 et 2011. Étude portant sur les départements ayant plus de 20 cas confirmés, France, 1999-2011

Figure 2 : Demandes auprès du Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante (Fiva) et/ou déclaration en maladie professionnelle (DMP) selon le sexe, la classe d’âge et le régime de protection sociale. Cas confirmés de mésothéliome sur la période 2005-2011 (n=1 891), France

Déclaration obligatoire des mésothéliomes en France : principaux résultats, 2012-2013

Figure 1 : Volets du dispositif national de déclaration obligatoire (DO) des mésothéliomes en France

Figure 2 : Répartition des types de médecins ayant déclaré des cas de mésothéliomes dans le cadre de la déclaration obligatoire (DO), France, 2012-2013

Tableau 1 : Localisation anatomique des mésothéliomes diagnostiqués et déclarés dans le cadre de la déclaration obligatoire (DO), France, 2012-2013

Figure 3 : Répartition par sexe et par classe d'âge des cas de mésothéliomes pleuraux diagnostiqués et notifiés dans le cadre de la déclaration obligatoire (DO), France, 2012-2013

Figure 4 : Répartition par sexe et par classe d'âge des cas de mésothéliomes péritonéaux diagnostiqués et notifiés dans le cadre de la déclaration obligatoire (DO), France, 2012-2013

Tableau 2 : Taux d'exhaustivité de la déclaration obligatoire (DO) par rapport aux données du Programme national de surveillance du mésothéliome (PNSM) pour les mésothéliomes pleuraux, France, 2012-2013

Estimation de l’exposition professionnelle à l’amiante en France dans la population des hommes artisans retraités du Régime social des indépendants (RSI) à partir des données du programme ESPrI

Tableau 1 : Caractéristiques des hommes artisans retraités ayant pris leur retraite entre 2004 et 2008 et ayant répondu au questionnaire ESPrI, France

Tableau 2 : Estimations de la prévalence d’une exposition professionnelle à l’amiante, de la durée d’exposition professionnelle à l’amiante cumulée et du niveau maximum d’exposition atteint, carrière entière, des hommes artisans retraités. Programme ESPrI, France

Tableau 3 : Estimations de la prévalence d’une exposition professionnelle à l’amiante, de la durée d’exposition cumulée et du niveau maximum d’exposition atteint dans chacun des cinq secteurs d’activité dans lesquels les hommes artisans retraités ont le plus fréquemment exercé. Programme ESPrI, France

Description de la mortalité 2004-2008 des victimes de l’amiante connues du Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante (Fiva) et atteintes de pathologies bénignes

Tableau 1 : Caractéristiques générales, par pathologie, des personnes indemnisées par le Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante (Fiva) sur la période de suivi 2004-2008, France

Figure : Ratios standardisés de mortalité (SMR) toutes causes de décès suivant le délai depuis le diagnostic chez les hommes atteints de plaques pleurales suivant la période de diagnostic (avant 2004 ; 2004 et après), France

Tableau 2 : Comparaison de la mortalité toutes causes et par cause des hommes par rapport à la population générale française par groupes de personnes indemnisées par le Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante (Fiva) sur la période de suivi 2004-2008, France

Estimation des parts attribuables de cancers aux expositions professionnelles à l’amiante en France : utilisation des matrices développées dans le cadre du programme Matgéné

Tableau 1 : Fractions de cancers attribuables à une exposition professionnelle à l’amiante en France, par sexe, selon la prévalence d’exposition carrière entière et le risque relatif (RR)

Tableau 2 : Prévalence d’exposition professionnelle à l’amiante carrière entière en France, selon le sexe, année 2007 (non prise en compte des expositions après 1997)

Figure : Prévalence d’exposition professionnelle à l’amiante carrière entière en France, tous niveaux, par âge, en 2007 (non prise en compte des expositions après 1997)

Tableau 3 : Nombre annuel de cancers attribuables à une exposition professionnelle à l’amiante par sexe, selon le scénario, en France en 2012

Ev@lutil, base de données online en accès libre sur l’exposition professionnelle à l’amiante, aux fibres minérales artificielles et aux particules nanométriques

Figure : Écrans d’accueil et de consultation d’Ev@lutil